• Demon Turf (Queen’s edition)

    Dans ma recherche d’un plateformer 3D qui serait aussi sympa que A Hat In Time, j’ai naïvement lancé Demon Turf. Et bon sang, ce jeu est en train de me faire perdre des litres de flotte tellement il est dur !

    On y incarne donc Beebz, une jeune démone au sale caractère bien décidée à prendre la place du roi des démons. Et après un mauvais rêve où celui-ci est venu la narguer, elle décide de venir à bout de ce projet une bonne fois pour toutes.

    Sauf que pour ce faire, elle doit d’abord prendre le contrôle de chacun des territoires démoniaques et, bien sûr, y botter le cul du chef en date, histoire de montrer à tous qui est la patronne ici.

    L’Enfer, une héroïne au caractère bien trempé, de la plateforme, on peut dire que ce jeu a tout pour me plaire… si ce n’est sa difficulté qui, comme je l’ai dit, est particulièrement corsée.

    Et c’est un peu ce dernier détail qui me fait peur.

    Parce que si encore, je peux accepter de souffrir dans ses niveaux (Ce ne sera pas le premier, ni le dernier, qui me fera péter un câble, mais auquel je m’accrocherai malgré tout), le jeu comporte plusieurs boss et, de ce que j’ai cru comprendre, ceux-ci sont particulièrement infects. Surtout à cause du fait que tu n’as pas de barre de vie, aussi, un coup et c’est la mort. Autant dire que ce n’est pas l’idéal pour combattre des boss costauds aux, sans doute, multiples phases. (Et ça, par contre, ça risque bien de me faire ragequit.)

    Je vous jure que les sauts sur ces fleurs sont infernaux.

    Pour le reste, je suis plutôt conquis. À commencer par son aspect visuel, ce mélange de 2D et de 3D qui est surprenant au début, mais pas désagréable. Aussi, si j’avais peur qu’avoir mon personnage en 2D ne puisse compliquer certains sauts, au final, il n’en est rien. Il suffit de contrôler correctement la caméra et tout roule comme sur des roulettes.

    Les mouvements sont nombreux et, au début, vous submergent un peu tant il semble y en avoir, mais le jeu vous fait les utiliser tous à plusieurs reprises durant le tuto et le premier niveau, ce qui vous oblige à vous les rentrer dans la tête. En fait, je crois qu’il n’y a que pour la nage que j’ai déjà oublié comment j’étais censé faire. Pour le reste, j’ai déjà pris mes marques.

    Par contre, PAR CONTRE, je mettrais un bémol sur les checks points. Vous laisser décider de quand vous voulez en placer un est une bonne idée, MAIS ! Vous êtes limités à quatre check points par niveau. Et si au début, ceux-ci sont plutôt courts, j’ai peur que par la suite, ils ne s’allongent et que quatre pauvres petits check points ne deviennent un peu trop juste pour ne pas me donner envie d’envoyer valdinguer ma manette.

    Les fameux check points.

    Bref, je n’en suis qu’au premier monde et, même si je souffre, j’apprécie mon expérience. J’espère dons que je n’aurais pas à l’abandonner à cause de ses boss…

  • Oui, oui, oui !

    J’ai encore abandonné ce blog, mais j’ai une bonne excuse… ou pas. Non, en vrai, la seule excuse que j’ai c’est que j’avais la flemme, parfois, et que j’oublie son existence, souvent.

    Et la prise de médicaments n’aide pas, parce que je dors trop à cause d’eux, donc j’ai peu de temps dans la journée pour faire quoi que ce soit, je suis de toute façon la plupart du temps déprimé et… voilà ! Il est loin le temps où j’avais la volonté et l’énergie de remplir des pages et des pages de blogs chaque jour. Très, très loin. Trop loin, même. Et ça me manque. L’écriture me manque tout court, mais j’ai l’impression de ne plus vraiment être bon à quoi que ce se soit à ce niveau.

    Je n’ai même pas terminé ma série d’articles sur Throw Bro, alors que j’ai eu le temps de faire deux fois le jeu ! (Qui est excellent, vraiment, il y avait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir avec un plateformer.)

    Alors à la place, j’en ai fait une vidéo, qui restera sans doute la seule de cette chaîne que j’ai ouverte, parce que je n’arrive pas non plus à trouver le courage, l’énergie ou l’inspiration pour en faire d’autres. (Oui, quand je dis que je suis déprimé !)

    J’ai envie de parler de jeux vidéos, mais je ne sais pas trop comment faire… j’ai envie de parler de lecture, mais je ne sais plus comment faire… j’ai envie de parler tout court, ici ou ailleurs, mais je suis fatigué. Et j’en ai marre d’être fatigué, tout le temps.

    En plus, ma chaîne de Let’s play risque d’être à l’abandon d’ici peu de temps. Parce qu’elle m’angoisse. Parce que je n’arrive même plus à enregistrer une vidéo par jour alors que je ne fais aucun montage. Et ça aussi, ça me déprime, parce que j’ai l’impression que c’est un schéma répétitif chez moi, d’abandonner tout ce que j’entreprends. Et que même en prenant des pauses, l’envie n’est plus là, tout en état encore là, ce qui n’est pas logique et super pénible.

    En bref, je vais pas bien et ça me gonfle.

  • Throw Bro (2)

    Quand je disais hier que c’était le karma qui était tombé sur notre dulcinée pour qu’elle se fasse enlever, je n’étais pas très loin de la vérité. Surtout que voilà ce que madame se permet de nous envoyer au milieu du quatrième monde :

    Le foutage de gueule est total.

    Je veux dire… on traverse des zones hostiles pour la sauver, peuplées de golem, de chauves-souris, d’ours enragés, de crabes pirates, de béliers fous ou encore de cactus peu accueillants et elle nous balance qu’elle ne croit pas tellement en nous maintenant qu’une prime est mise sur notre tête ? J’espère que le karma lui réserve encore quelques surprises à celle-là !

    Mis à part cette très légère contrariété, le jeu est toujours aussi fun… dur, mais fun, à l’image de ses boss dont j’aime beaucoup la musique. Et en vrai, l’OST au grand complet est très sympa.

    En particulier celle du combat contre le crabe géant.

    Et que dire de plus que je n’ai déjà dit dans mon précédent article ? De l’humour ? Il y en a toujours autant. Les niveaux ? Ils se renouvellent constamment. Les boss ? Tous uniques avec leurs propres paternes. La difficulté ? Bon comme je l’ai dit plus haut, le jeu n’est pas si simple et il y a certains passages qui vous donnent envie de bouffer votre manette, surtout que les devs ne semblent pas du tout décidés à vous simplifier la vie. Mais malgré tout, je continue, vaille que vaille, avec la ferme détermination de terminer ce jeu. (D’autant que les niveaux sont tous plutôt courts, ce qui permet de ne pas trop rager quand vous en avez un particulièrement pénible.)

    Comme ce passage où j’ai bien failli péter mon crâne.

    Par contre, je dois bien avouer que mon pouce, lui, ne semble pas beaucoup apprécier l’expérience !

  • Throw Bro et autres blablas.

    Bon, peut-être est-il temps de me secouer un peu. Deux mois que je n’ai rien posté après avoir dit que je reprenais ce blog, c’est pas mal ! Mais je suis sûr que je peux faire mieux. (Pitié, non !)

    Quoiqu’il en soit, j’ai aujourd’hui attaqué Throw Bro.

    Je ne sais même plus comment je suis tombé sur ce jeu… sans doute encore lors d’un de mes épisodes où je me perds dans les tréfonds de Steam. Un plateformer 2D aux graphismes inspirés de la Game Boy où vous devez jeter des objets sur vos ennemis pour les combattre (si ces mêmes ennemis ne deviennent pas eux-mêmes vos projectiles) ou pour vous frayer un chemin. Le tout agrémenté d’une histoire tout à fait originale, puisque vous devez sauver votre girl qui a été enlevé par un chat diabolique extraterrestre. (Bon d’accord, c’est peut-être pas si original que ça.)

    Enfin, pour être tout à fait honnête, le jeu s’ouvre sur notre dulcinée qui nous fait courir à droite et à gauche sur notre île, nous donnant rendez-vous ici, puis là, sans jamais se donner la peine de nous attendre puisque, à notre arrivée, la voilà déjà envolée pour une autre destination. De là à dire que c’est le karma qui l’a rattrapé quand le chat diabolique lui tombe dessus, il n’y a qu’un pas.

    D’ailleurs, c’est pas moi qui dit qu’il est diabolique, mais lui-même ! Ce dialogue m’a fait beaucoup trop rire et je crois que c’est lui qui m’a décidé à wishlister ce jeu avant sa sortie.

    En vérité, le jeu ne se prend pas du tout au sérieux et ça rend donc plaisant ses quelques scènes de dialogues. La difficulté, elle, est bien dosée pour le moment, même si j’ai dû bien trop recommencer certains niveaux, en particulier son premier boss qui sur la fin est insupportable, le salaud ! J’en ai donc terminé avec son premier monde (sur les 6 promis par le jeu), me suis attaqué au second qui nous amène dans des grottes pleines de vilaines chauves-souris et… je me suis arrêté là pour le moment. J’attends donc de voir comment le jeu évolue par la suite pour vraiment me prononcer sur son compte, même si, pour le moment, je suis plutôt conquis. (Malgré quelques moments de rage parce que je suis nul.)

    À côté de ça, j’ai recommencé le remake d’IB pour ma chaîne de let’s play, jeu RPG Maker qui, pour une fois, a reçu une traduction française, ce qui m’évite d’avoir à traduire moi-même les dialogues… un peu de vacances, ça ne fait jamais de mal !

    J’aime toujours autant ce jeu et c’est un plaisir de le redécouvrir, mais, je sais pas… je traîne quand même un peu des pieds pour le terminer. Sans doute parce que je suis dans une de ces mauvaises passes où ma chaîne m’angoisse plus qu’elle ne m’amuse et où je me demande pour la millionième fois si je ne vais pas tout simplement l’abandonner.

    Même si je me doute que, si je le fais, ça sera assurément temporaire, comme la première fois, la première année où je l’ai ouverte et où j’ai fini par disparaître pendant presque un an. Parce qu’au fond, j’aime bien ça, faire du let’s play.

  • Nouveau départ

    Bon, ça fait une éternité que j’ai ouvert ce blog et, depuis le temps, il aura changé plusieurs fois de contenu, aura été mis hors ligne, aura vu ses articles supprimés, puis de nouveaux apparaître, pour être de nouveau supprimés et… quand je m’étais remis dessus l’année dernière, j’avais dans l’idée d’en faire un blog de reviews sur les jeux / Visual Novel auxquels je pouvais jouer.

    Résultat, un article plus tard, ce blog était de nouveau abandonné, haha ! La flemme, c’est quelque chose de terrible, vraiment.

    Mais je n’ai toujours pas abandonné l’espoir de me remettre un jour au blogging, car l’écriture reste ma forme de communication préférée. Celle où je me débrouille le mieux aussi, sans doute.

    Tout ça pour dire que je pense reprendre doucement ce blog. Et qu’au niveau de son contenu, il y aura sans doute de tout. Des jeux, des bouquins, des réflexions, d’autres trucs. Des articles que j’écrirai de façon sporadique, au fil de mes envies et de mes coups de cœur.