Dernièrement, j’ai eu la chance, ou la malchance, de retomber dans ce trou sans fond qu’est le Visual Novel. Et si je parle de trou sans fond, c’est parce que contrairement à ma première excursion au sein du genre, il y a de cela une dizaine d’années, je comprends aujourd’hui suffisamment l’anglais pour que ça me donne accès à une large bibliothèque de titres payants, d’une part, mais aussi gratuits. Sans déconner, allez faire un tour rien que sur itch.io pour comprendre ce que je veux dire !
Et Penguin Cafe est l’un de ces titres que vous pouvez vous procurer gratuitement si vous le souhaitez… ou si vous avez quelques sousous de côté, vous pouvez également décider de le payer (le prix en question étant libre).
Le jeu possède deux fins : une bonne et une mauvaise. J’ai été suffisamment chanceux pour avoir eu accès à la bonne du premier coup, mais c’était clairement un pur hasard, ayant cliqué un peu n’importe où à ce moment-là et ayant, donc, déclenché la bonne fin. Hum… non, je n’accepte aucun commentaire sur ma façon de jouer !
Chaque run ne faisant toutefois qu’une dizaine de minutes, je ne me suis pas fait beaucoup prier pour relancer le jeu, afin d’avoir accès à la seconde fin.
Ce serveur est beaucoup trop mignon. Vraiment !
En ce qui concerne l’histoire, elle est on ne peut plus simple : votre personnage arrive dans un café où il est censé avoir un rendez-vous romantique. Et en attendant l’arrivée de votre date, vous êtes invité à boire du café, consulter vos messages sur votre portable, faire des… trucs avec des tomates (Déso, je ne sais pas tellement comment expliquer ce truc-là, haha !) et, bien sûr, discuter avec le serveur de l’endroit.
On est donc clairement sur de la tranche de vie, niveau visuel, c’est tout aussi simple, mais… ce jeu a son charme. Son charme et ses moments « haaaaaaan !!! ❤ ». Et pour moi, c’est un peu le principal.
Un coin perdu 